Si le copilote de l’A320 ne s’est pas
suicidé, toute la narrative officielle tombe à l’eau. Et d’où nous vient
cette narrative officielle ,des autorités françaises ? Des Etats-Unis !
Le début de la construction de l’histoire officielle a été lancé par le
New York Times, repris par tous les médias du monde, y compris français.
Suicide bien commode comme beaucoup de suicides sans cause, brandis dès
qu’une explication embarrassante doit être fournie.
Il suffit de sortir de l’écoute passive
du ronronnement médiatique et d’observer et analyser les discours, pour
se rendre compte que tout ce qui s’est dit jusqu’ici est un tissu de
mensonges encore plus vicieux que celui concernant le 11 septembre, car
ici, il y a une construction méthodique, brique après brique, du
mensonge. On ne sait pas ce qui s’est passé et on ne le saura peut-être
jamais, mais on sait déjà que les explications officielles ne tiennent
pas la route et omettent beaucoup d’éléments qui contredisent les
discours.
Qu’y a-t-il de faux, dans le discours actuellement en vogue ?
Le copilote Lubitz n’a pas pu vouloir se
suicider. Un jeune pilote reconnu à 100% apte à piloter selon les
normes très, très strictes appliquées dans le domaine de l’aviation,
surtout dans un pays comme l’Allemagne, ne peut pas se transformer, le
temps d’un crash, en un psychopathe bourré de médicaments. Tous ceux qui
l’ont connu rejettent ces allégations. Si elles étaient vraies, alors
ne prenez plus l’avion, les normes ne servant à rien.
Du coup, la conversation calme entre les
deux pilotes à travers la porte verrouillée du cockpit dont nous parle
le New York Times n’a pu avoir lieu. Si elle avait eu lieu, cela
voudrait dire que le jeune homme, en n’ouvrant pas la porte, soit
voulait se suicider, ce que nous avons écarté, soit était inconscient,
ce qui rendrait toute conversation impossible.
Donc le New York Times ment, et tout ce qui en découle est faux.
Ce que semble d’ailleurs confirmer les témoignages oculaires des habitants de la région recueillis à la base aérienne d’Orange.
Ces témoins affirment avoir entendu des explosions et vu de la fumée
sortant de l’avion. Ce qui, en passant, démolit le récit du New York
Times, car on ne voit pas comment le commandant de bord pourrait aller
pisser et revenir tenir une conversation calme avec son copilote,
pendant que son avion est en feu.
Que vient faire le FBI dans cette
histoire ? Si les hommes politiques français peuvent être soupçonnés
d’allégeance à des forces hégémoniques extérieures, ce n’est pas le cas
des administrations françaises. A ce stade des investigations, il est
difficile d’imaginer la machine judiciaire française demander le
concours du FBI autrement que sous forme d’échange de renseignements, et
les procédures judiciaires n’ont pas la réputation d’être simples et
rapides. Et pourtant le FBI a été « appelé » à la rescousse, à moins qu’il ne se soit appelé lui-même.
Puisque les raisons du crash semblent
destinées à être cachées, il est probable que dans les jours à venir,
nous ayons régulièrement des révélations gardées bien au chaud, avec
l’aide bienveillante des grands médias dont nous savons pourtant que
toute révélation émanant d’eux ne peut être qu’une révélation commandée.
Que s’est-il passé de si grave qui
oblige les officiels à s’empêtrer dans des contorsions mensongères,
allant jusqu’à salir un jeune pilote qui, d’après les témoignages,
n’aurait pas fait de mal à une mouche ? La coopération internationale
dans le mensonge est évidente, et c’est d’autant plus inquiétant.
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